Aidagara Shiatsu est le nom de mon cabinet. Prononcer « aïdagara ».

Aidagara, mot japonais, porte le sens de « Être en lien avec… ». C’est l’esprit de la relation que je cherche à créer avec chaque individu, car le Shiatsu ne peut être présenté comme une forme standardisée de soin.
A chaque séance, la direction qui sera prise et les techniques utilisées (pressions sur les points des méridiens, mobilisations/étirements, Techniques Internes, fascia, chaise ergonomique…) se dessinent lors des premiers instants de la rencontre.

La citation de Wilfried Rappencker et Meike Kockrick* ci-dessous a été déterminante dans le développement de cet état d’esprit au fil de mes années de formation (*préface de leur ouvrage « L’Atlas du Shiatsu et des méridiens ») :

« L’essence du shiatsu est la rencontre de deux personnes »

Déontologie

Je m’engage à :

• Pratiquer dans le respect de l’intégrité physique et morale de chaque personne que je rencontre
• Préserver le secret professionnel
• Orienter toute personne vers son médecin ou son spécialiste pour passer une étape que le Shiatsu ne peut prendre en charge (provisoirement ou non).

Repères

• Le Shiatsu ne se substitue pas à la médecine occidentale, mais se présente comme un complément. Il ne dispense pas d’un avis médical, sa pratique pouvant être contre-indiquée dans certaines situations.

• Le Shiatsu est reconnu officiellement comme profession par l’État français et le Ministère du Travail (J.O. du 25 juillet 2015).

• Le Shiatsu est reconnu comme une thérapie manuelle officielle par le ministère de la santé au Japon depuis 1947.

• Le Shiatsu est une des 8 approches complémentaires mentionnées dans la résolution A4-0075/97 du Parlement européen, votée le 29 mai 1997 et considérée comme une « médecine non conventionnelle digne d’intérêt ».

Contre-indications

Il est possible de recevoir un shiatsu à tout âge. Par contre certaines contre-indications existent :

• Fièvre (signe d’infection) ou maladie contagieuse
• Signes de phlébite (ou thrombose veineuse) : rougeur, chaleur, induration
• Intervention chirurgicale récente (attendre au moins 1 mois si anesthésie générale)
• Signes annonciateurs d’une pathologie cardiovasculaire (AVC, infarctus…)
• Pacemaker
• Tumeur cancéreuse en phase de développement (par contre, accompagnement possible pendant la période de traitement)
• Signes d’occlusion intestinale
• Crise d’asthme
• Plaies, ulcères variqueux, brûlures
• Choc émotionnel récent et/ou profond
• Après un lourd repas ou sous l’emprise d’alcool ou de drogues.